Portails et piliers anciens
Grille ancienne en fer forgé grillagée
Grille ancienne en fer forgé ajouré
Grille ancienne en fer forgé avec barreaux ronds
Ancien portillon cintré en fer forgé ajouré animé de la Croix des Templiers
Colonnette double ornementale en pierre ancienne sculptée
Grande grille ancienne cintrée en fer forgé
Porte ancienne en fer forgé semi ajouré avec son cadre
Portillon ancien en métal gris
Portail ancien en fer forgé à 3 vantaux
Colonne dorique ancienne en fonte du XIXème siècle
Portail ancien à double vantaux en fer forgé semi ajouré et riveté
Ancienne porte de chapelle en fer forgé semi-ajouré
Portail ancien en fer forgé semi ajouré à double vantaux
Ancien portail à deux battants en fer forgé et son imposte forgé
Large portail ancien ajouré en fer forgé riveté
Charmant portail ancien à double vantaux en fer forgé
Petit portail à 2 vantaux en fer forgé riveté
Pilier ancien en pierre massive
Portail ancien en fer forgé semi ajouré à double vantaux
Original portail ancien semi-ajouré en fer forgé riveté avec portillon
Haut portail ancien en fer forgé semi-ajouré
Ancien portail peint en bleu en fer forgé riveté à deux vantaux
Paire de piliers rustiques en pierre ancienne pour portail
Ancien portail en fer forgé ajouré riveté orné de volutes et fleurs de lys
Portail à double vantaux anciens en fer forgé
Ancien portail en fer forgé avec 2 vantaux tôlés
Ancien grand portail en fer forgé ajouré à 2 vantaux
Garde-corps de pont ancien en fonte ajouré et riveté
Garde-corps ancien en fer forgé ajouré à volutes et portillon
Le rivetage est un mode d'assemblage métallique très utilisé au XIXème siècle, avant l'apparition de la soudure oxy-acétylénique. Il se fait à l'aide de rivets. C'est un assemblage définitif, c’est-à-dire non démontable sans destruction de l'attache. Le rivetage "à chaud" permettait un assemblage très résistant et de faible encombrement.
À cette époque, le travail était manuel et la pose d'un rivet demandait le travail de trois personnes : le "chauffeur", c'est à dire celui qui chauffait le rivet et l'introduisait dans le trou, le "teneur de tas" qui maintenait le rivet avec un outil spécial, appelé "tas", et finalement le "riveur" qui, à l'opposé, frappait la partie chaude avec une bouterolle afin de former la tête.
Ce travail de frappe manuelle fut remplacé par des marteaux pneumatiques plus performants et nécessitant moins d’effort physique.